Il est assez de Geais à deux pieds comme lui, Qui se parent souvent des dépouilles d'autrui, Et que l'on nomme plagiaires.
Il est assez de Geais à deux pieds comme lui, Qui se parent souvent des dépouilles d'autrui, Et que l'on nomme plagiaires.
  • Charger l'image dans la galerie, Il est assez de Geais à deux pieds comme lui, Qui se parent souvent des dépouilles d'autrui, Et que l'on nomme plagiaires.
  • Charger l'image dans la galerie, Il est assez de Geais à deux pieds comme lui, Qui se parent souvent des dépouilles d'autrui, Et que l'on nomme plagiaires.

GRANDVILLE Jean-Jacques

Il est assez de Geais à deux pieds comme lui, Qui se parent souvent des dépouilles d'autrui, Et que l'on nomme plagiaires. 1828.

Description de l'oeuvre

GRANDVILLE Jean-Jacques
Nancy 1803 † Vanves 1847
Lithographie originale en coloris ancien.
H255xL325mm.
Quelques rousseurs claires dans les marges.
I.F.F Après 1800, n°6.

Signée en bas à gauche dans la composition. Imprimée chez Langlumé. Planche 33 de la série de 73 pièces "Les Métamorphoses du jour". Epreuve de la première édition publiée par Bulla en 1828, sur papier vélin.

Lire plus
Prix normal
Vendu
Prix réduit
0 €
Prix normal
Vendu
Prix unitaire
par 
CAT XXIX n°102