L’artiste prodige, reconnu dès la vingtaine par le tout Paris par sa conversation spirituelle et ses œuvres brillantes ne fit au cours de sa carrière que repousser les limites de sa propre identité esthétique. Incapable de se défaire de ses nombreux intérêts, Cocteau devient poète, peintre, romancier, cinéaste, metteur en scène, critique… Souvent affilié aux mouvements surréalistes, dada et d’avant-garde, le fil conducteur de ses créations restera une conception de l’art comme un tout.
La Galerie MARTINEZ D. & Ghizlaine JAHIDI présentent l'exposition
NOCTURNES œuvres sur papiers de Jérémie SOLOMON.
« Le sommeil de la raison engendre des monstres », dit une célèbre gravure de Goya. La formule aurait pu servir de sous-titre ou d'épigraphe à cette exposition.
Du 22 Octobre au 20 Novembre, la Galerie Martinez D. présente l'exposition Magnificence, une magnifique sélection des œuvres de l'artiste photographe Rebecca Rübcke.
Si vous n'avez pas encore eu la chance de découvrir ces très belles photographies, vous pouvez d'hors et déjà les découvrir ci-dessous.
Artiste photographe, Rebecca développe une esthétique sobre et dépouillée.
Ici, la figure humaine n’apparaît jamais : natures mortes, paysages luxuriants et cimetières urbains forment la matière principale de cette exposition, fruit de ses vagabondages et flâneries solitaires.
Celui qui fut présenté, malgré la différence de génération, comme un des précurseurs de la Figuration libre, préfère donner à son travail l’appellation de
« Figuration libératrice ».
Il dira d’ailleurs de ses œuvres :
« Mes tableaux se veulent des chants joyeux, voir des hymnes à la joie. »
Parmi les œuvres que Moreh entendra enfant se trouve notamment les Fables deLa Fontaine, un univers animalier dont on retrouve bien évidemment des traces fortes dans l’obsession de l’artiste pour la représentationanimale.
« Il est intéressant de constater que Slavko Kopač, comme Jean Fautrier ou Jean Dubuffet, en s'affranchissant de certaines règles, se soient résolument tournés vers la matière, brute et informelle, vers une sorte de « chaos primordial » de la plastique d'où naissent et s'ouvrent des formes plus ou moins lisibles selon l'artiste. »
Le chemin de fer devient alors le convoyeur du plaisir des citadins fuyant les rues bondés des villes. Ainsi naquirent les affiches que nous vous présentons, parcourues par des jeunes femmes et des familles en habit du dimanche, prêtes à la rapidité des loisirs modernes.
Si la plupart des “récréations” comme on les appelle alors étaient auparavant réservées à l’aristocratie, on voit au cours du siècle une démocratisation progressive des activités de plaisir se mettre en place.